Plus loin, une petite statuette se replie sur elle-même : de la plante des pieds crispée à la nuque courbée, c’est une plainte sourde, un abandon qui se traduit dans le langage des formes. Le titre évoque, invoque « la Lune », astre femme. Le monde de Laurence est à coup sûr celui des femmes, dans leur diversité, dans leur fragilité.
Chantal Tombu, historienne de l'Art, Kinshasa
Chantal Tombu, historienne de l'Art, Kinshasa